Extrait du site UBB (DR)
La CCI de Bordeaux, avec les résultats d'une étude d'impact autour des activités sportives de l'Union Bordeaux Bègles (rugby) vient de faire la démonstration que le sport c'est aussi de l'économie. Rappelons que l'UBB est la fusion de deux clubs de la région bordelaise, le CABBG et le Stade Bordelais. Un mariage effectif depuis mais 2008. L'étude a été présentée ce jour à Bordeaux. Philippe Garcia, directeur de la communication de la CCIB, nous en résume le constat.
"23 millions d’euros de retombées directes pour l’économie régionale et 94 millions en tenant compte des effets d’entrainement. Déjà plus grosse affluence d’Europe, l’Union Bordeaux Bègles apparaît comme étant également un atout pour l’économie régionale. Ce constat est issu de l’étude réalisée par la CCI de Bordeaux à la demande du Club. Objectif mesurer le niveau de création de richesse généré par l’UBB. Une première dans le top 14 !
Près de 11 millions d’euros injectés dans l’économie régionale directement par le club et plus de 12 millions de retombées économiques dépensés par les spectateurs dans les commerces, restaurants ou autres prestataires de biens et services … «L’UBB se positionne véritablement comme un acteur économique de premier plan pour les entreprises de la région» explique Pierre GOGUET, président de la CCI de Bordeaux.
De fortes retombées pour les commerces- Avec 12 millions dépensés par les spectateurs, soit près de 40 euros en moyenne par personne et par match, l’UBB se positionne comme un élément moteur de notre économie. On estime ainsi à près de 35 euros les dépenses effectuées par les supporters locaux et à plus de 58 euros celles des supporters adverses. 79% de ces dépenses profitent principalement aux restaurants, bars et buvettes. Autre indicateur intéressant, la tranche d’âge des spectateurs majoritaire est celle des 35 et 59 ans (49% du total) et la catégorie socio-professionnelle la plus représentée est les CSP+.
10,7 millions d’impact direct -En additionnant les frais de personnel, les achats divers, la fiscalité et les investissements, ce sont 10,7 millions d’euros qui ont ainsi été dépensés par le Club lors de la saison dernière. Les "Frais de personnels (masse salariale chargée)" correspondent au poste de dépenses le plus important : 61% du montant de l’impact direct en raison de la structure du club basé sur la qualité, le nombre de joueurs et le personnel de support à l’équipe (staff médical, staff technique…). Le salaire des joueurs pèse pour 84% de la masse salariale totale. Un poste en croissance de 18% sur les deux dernières saisons.
Enfin, l’ensemble des dépenses générées par le club et les spectateurs vont à leur tour entrainer d’autres dépenses qui vont être réinjectées dans l’économie régionale. Cet effet d’entrainement est estimé à plus de 71 millions d’euros.
"23 millions d’euros de retombées directes pour l’économie régionale et 94 millions en tenant compte des effets d’entrainement. Déjà plus grosse affluence d’Europe, l’Union Bordeaux Bègles apparaît comme étant également un atout pour l’économie régionale. Ce constat est issu de l’étude réalisée par la CCI de Bordeaux à la demande du Club. Objectif mesurer le niveau de création de richesse généré par l’UBB. Une première dans le top 14 !
Près de 11 millions d’euros injectés dans l’économie régionale directement par le club et plus de 12 millions de retombées économiques dépensés par les spectateurs dans les commerces, restaurants ou autres prestataires de biens et services … «L’UBB se positionne véritablement comme un acteur économique de premier plan pour les entreprises de la région» explique Pierre GOGUET, président de la CCI de Bordeaux.
De fortes retombées pour les commerces- Avec 12 millions dépensés par les spectateurs, soit près de 40 euros en moyenne par personne et par match, l’UBB se positionne comme un élément moteur de notre économie. On estime ainsi à près de 35 euros les dépenses effectuées par les supporters locaux et à plus de 58 euros celles des supporters adverses. 79% de ces dépenses profitent principalement aux restaurants, bars et buvettes. Autre indicateur intéressant, la tranche d’âge des spectateurs majoritaire est celle des 35 et 59 ans (49% du total) et la catégorie socio-professionnelle la plus représentée est les CSP+.
10,7 millions d’impact direct -En additionnant les frais de personnel, les achats divers, la fiscalité et les investissements, ce sont 10,7 millions d’euros qui ont ainsi été dépensés par le Club lors de la saison dernière. Les "Frais de personnels (masse salariale chargée)" correspondent au poste de dépenses le plus important : 61% du montant de l’impact direct en raison de la structure du club basé sur la qualité, le nombre de joueurs et le personnel de support à l’équipe (staff médical, staff technique…). Le salaire des joueurs pèse pour 84% de la masse salariale totale. Un poste en croissance de 18% sur les deux dernières saisons.
Enfin, l’ensemble des dépenses générées par le club et les spectateurs vont à leur tour entrainer d’autres dépenses qui vont être réinjectées dans l’économie régionale. Cet effet d’entrainement est estimé à plus de 71 millions d’euros.
- Sur le plan de la méthodologie, les enquêtes menées auprès des spectateurs ont été réalisées sur des matchs qui se sont déroulés au stade Chaban- Delmas lors de la dernière saison, sur la base d’un questionnaire auquel ont répondu à 70% des supporters de l’UBB et 30% des clubs adverses."