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Une étude que publie Agreste Aquitaine (services statistiques du ministère de l'Agriculture) , réalisée par Isabelle LAFARGUE, Marie-France PERILLAT, avec la contribution de Bernard GUERY (SRAL Aquitaine), démontre que la protection phytosanitaire du vignoble demeure une phase incontournable. L'observation a été effectuée, pourtant, sur une année moyenne -2010- pour ce qui est des attaques de maladies.
Les auteur de l'étude constatent notamment :" Sur la campagne 2010, en moyenne près de 15 traitements fongicides ont été réalisés sur les vignes d’Aquitaine. En Bordelais, le nombre moyen de ces traitements a peu varié par rapport à l’enquête de 2006 avec toujours un nombre d’applications sensiblement supérieur sur la rive gauche. Pour la réalisation de ces traitements, 8 passages en moyenne ont été nécessaires. Un traitement correspond à l’application d’une spécialité commerciale au cours d’un passage. Si lors d’un passage, deux spécialités sont appliquées, on comptabilise alors deux traitements".
C'est toutefois un traitement de moins qu'en 2006. Les statisticiens soulignent aussi la part que prend la lutte contre la maladie de la vigne qu'est la flavescence dorée, laquelle implique d'éliminer par insecticide son vecteur, la cicadelle. L'étude fait également ressortir le développement de la lutte raisonnée, et la place prise par les méthodes d'entretien telles que l'épamprage et l'éclaircissage qui limitent le développement des maladies cryptogamiques.
Les auteur de l'étude constatent notamment :" Sur la campagne 2010, en moyenne près de 15 traitements fongicides ont été réalisés sur les vignes d’Aquitaine. En Bordelais, le nombre moyen de ces traitements a peu varié par rapport à l’enquête de 2006 avec toujours un nombre d’applications sensiblement supérieur sur la rive gauche. Pour la réalisation de ces traitements, 8 passages en moyenne ont été nécessaires. Un traitement correspond à l’application d’une spécialité commerciale au cours d’un passage. Si lors d’un passage, deux spécialités sont appliquées, on comptabilise alors deux traitements".
C'est toutefois un traitement de moins qu'en 2006. Les statisticiens soulignent aussi la part que prend la lutte contre la maladie de la vigne qu'est la flavescence dorée, laquelle implique d'éliminer par insecticide son vecteur, la cicadelle. L'étude fait également ressortir le développement de la lutte raisonnée, et la place prise par les méthodes d'entretien telles que l'épamprage et l'éclaircissage qui limitent le développement des maladies cryptogamiques.