Ph Paysud
Grande première bien méritée:Eliane Lavail et ses formations vont s'exprimer pour la première fois à l'Auditorium de Bordeaux, une salle de qualité acoustique bien supérieure au Palais des Sports ou à la Patinoire.
Eliane Lavail, pour ce nouveau concert, a également préféré sortir des cathédrales, pour diriger un concert "sacrément" schubertien, les 7 et 8 juin, dans la nouvelle salle bordelaise.
Durant toute sa courte vie, Franz Schubert s'est beaucoup intéressé à la musique sacrée. A l'âge de onze ans il fut nommé premier soprano dans la paroisse de Wien-Lichtenthal d'où il était originaire. Peu de temps après il chantait, sous la direction d'Antonio Salieri, à la maîtrise de la musique de la chapelle de cour. Très tôt, il se consacre à la composition d'œuvres de musique sacrée dont les premiers témoignages datent de 1812. Les œuvres religieuses de Schubert connaissent une diffusion relativement large du vivant du compositeur, avant de tomber progressivement dans l'oubli.
Pour le premier concert donné par ses formations à l'Auditorium de Bordeaux le samedi 7 à 20h30 et le dimanche 8 juin à 17h, Eliane Lavail présente trois œuvres du répertoire sacré et choral de Schubert :
- deux œuvres dédiées à la vierge Marie : le Stabat Mater, composition de jeunesse achevée à 19 ans, et le Magnificat. Données en première partie des concerts, elles seront placées sous la direction musicale de Damien Sardet.
- Grande Messe en La bémol / direction Eliane Lavail
Schubert avait dix-sept ans, lorsqu'en 1814, il écrit la première de ses six messes latines. Oeuvre de la pleine maturité, la Messe en la bémol majeur D 678 achevée en 1822 est incontestablement la plus belle des six que nous a laissées le maître viennois. Franz Schubert a achevé l'écriture de cette messe en 1822, à l'âge de 25 ans. Il y travaille trois ans et la retouche encore peu de temps avant sa mort. Rarement donnée en concert, cette messe, associée aux deux œuvres précédentes, constitue un programme hommage au compositeur autrichien.
Polifonia mobilise pour cet évènement:
Chœur Symphonique Polifonia
Ensemble Vocal d'Aquitaine
Orchestre Aquitaine-Hauts de Garonne
Sandrine Labory, soprano
Bénédicte Legendre, alto
Benoît Porcherot, ténor
David Ortega, basse
Eliane Lavail, pour ce nouveau concert, a également préféré sortir des cathédrales, pour diriger un concert "sacrément" schubertien, les 7 et 8 juin, dans la nouvelle salle bordelaise.
Durant toute sa courte vie, Franz Schubert s'est beaucoup intéressé à la musique sacrée. A l'âge de onze ans il fut nommé premier soprano dans la paroisse de Wien-Lichtenthal d'où il était originaire. Peu de temps après il chantait, sous la direction d'Antonio Salieri, à la maîtrise de la musique de la chapelle de cour. Très tôt, il se consacre à la composition d'œuvres de musique sacrée dont les premiers témoignages datent de 1812. Les œuvres religieuses de Schubert connaissent une diffusion relativement large du vivant du compositeur, avant de tomber progressivement dans l'oubli.
Pour le premier concert donné par ses formations à l'Auditorium de Bordeaux le samedi 7 à 20h30 et le dimanche 8 juin à 17h, Eliane Lavail présente trois œuvres du répertoire sacré et choral de Schubert :
- deux œuvres dédiées à la vierge Marie : le Stabat Mater, composition de jeunesse achevée à 19 ans, et le Magnificat. Données en première partie des concerts, elles seront placées sous la direction musicale de Damien Sardet.
- Grande Messe en La bémol / direction Eliane Lavail
Schubert avait dix-sept ans, lorsqu'en 1814, il écrit la première de ses six messes latines. Oeuvre de la pleine maturité, la Messe en la bémol majeur D 678 achevée en 1822 est incontestablement la plus belle des six que nous a laissées le maître viennois. Franz Schubert a achevé l'écriture de cette messe en 1822, à l'âge de 25 ans. Il y travaille trois ans et la retouche encore peu de temps avant sa mort. Rarement donnée en concert, cette messe, associée aux deux œuvres précédentes, constitue un programme hommage au compositeur autrichien.
Polifonia mobilise pour cet évènement:
Chœur Symphonique Polifonia
Ensemble Vocal d'Aquitaine
Orchestre Aquitaine-Hauts de Garonne
Sandrine Labory, soprano
Bénédicte Legendre, alto
Benoît Porcherot, ténor
David Ortega, basse