Le CESER Nouvelle-Aquitaine a joué son rôle environnemental lors de sa dernière assemblée plénière en exprimant un avis défavorable sur les SDAGE et en formulant des réserves sur des projets de parc photovoltaïque et éolien.
Constat à propos des SDAGE: "Si les précédents Sdage des bassins Adour-Garonne et Loire-Bretagne ont indiscutablement abouti à des progrès, ces derniers ne sont pas suffisants. Les résultats ne sont en effet pas sur la bonne trajectoire pour atteindre le bon état de l’ensemble des masses d’eau des deux bassins en 2027. Les projets de Sdage 2022-2027 ne le visent même pas.Le CESER considère qu’il est à présent temps de donner l’alerte. La situation est inquiétante et va se dégrader rapidement du fait du changement climatique. Atteindre le bon état des eaux est d’autant plus urgent que les difficultés vont s’ajouter les unes aux autres. Les pouvoirs publics doivent donc tout mettre en œuvre pour atteindre cet objectif".
Il formule diverses propositions pour atteindre l'objectif, dont l'intégration du bon état des eaux dans les politiques publiques sectorielles (dont l'agriculture), et des moyens humains et financiers.
Il exprime ainsi son avis: "Le CESER ne peut ainsi apporter son soutien aux projets de Sdage Adour-Garonne et Loire-Bretagne, lesquels sont bien moins ambitieux que ne l’exige l’intérêt général. C’est la raison pour laquelle il émet un avis défavorable sur les deux projets de Sdage, alors même qu’il partage de nombreuses orientations et actions proposées dans ces schémas".
"Le CESER demande que les deux projets actuellement en consultation, ainsi que ceux de nature similaire, fassent l’objet d’un moratoire. Renouer le lien de confiance avec les citoyens et garantir une information la plus large, au-delà des seuls riverains de tel ou tel projet et des parties prenantes légitimement mobilisées autour de ces enjeux, apparaît comme une condition préalable indispensable à l’inscription durable de la région Nouvelle-Aquitaine dans la trajectoire souhaitée de neutralité carbone et du développement des énergies renouvelables."
Constat à propos des SDAGE: "Si les précédents Sdage des bassins Adour-Garonne et Loire-Bretagne ont indiscutablement abouti à des progrès, ces derniers ne sont pas suffisants. Les résultats ne sont en effet pas sur la bonne trajectoire pour atteindre le bon état de l’ensemble des masses d’eau des deux bassins en 2027. Les projets de Sdage 2022-2027 ne le visent même pas.Le CESER considère qu’il est à présent temps de donner l’alerte. La situation est inquiétante et va se dégrader rapidement du fait du changement climatique. Atteindre le bon état des eaux est d’autant plus urgent que les difficultés vont s’ajouter les unes aux autres. Les pouvoirs publics doivent donc tout mettre en œuvre pour atteindre cet objectif".
Il formule diverses propositions pour atteindre l'objectif, dont l'intégration du bon état des eaux dans les politiques publiques sectorielles (dont l'agriculture), et des moyens humains et financiers.
Il exprime ainsi son avis: "Le CESER ne peut ainsi apporter son soutien aux projets de Sdage Adour-Garonne et Loire-Bretagne, lesquels sont bien moins ambitieux que ne l’exige l’intérêt général. C’est la raison pour laquelle il émet un avis défavorable sur les deux projets de Sdage, alors même qu’il partage de nombreuses orientations et actions proposées dans ces schémas".
- PHOTOVOLTAIQUE DE SAUCATS ET EOLIEN D'OLERON
"Le CESER demande que les deux projets actuellement en consultation, ainsi que ceux de nature similaire, fassent l’objet d’un moratoire. Renouer le lien de confiance avec les citoyens et garantir une information la plus large, au-delà des seuls riverains de tel ou tel projet et des parties prenantes légitimement mobilisées autour de ces enjeux, apparaît comme une condition préalable indispensable à l’inscription durable de la région Nouvelle-Aquitaine dans la trajectoire souhaitée de neutralité carbone et du développement des énergies renouvelables."