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Bordeaux et les élus aquitains réclament tout le programme LGV
La mairie de Bordeaux nous communique:
"La Ville de Bordeaux participait ce mercredi 9 octobre 2013 à Paris au colloque intitulé : « LGV du Sud-Ouest Européen, l'union sur toute la ligne ». Alain Juppé était représenté par Michel Duchène, adjoint au maire et vice-président à la Communauté Urbaine de Bordeaux. Ce rendez-vous a permis une nouvelle fois de réaffirmer la mobilisation de la Ville de Bordeaux et de son maire pour que se réalise l'essentielle ouverture ferroviaire à la péninsule ibérique que représente la LGV Bordeaux/Espagne (courrier commun des élus aquitains, co-signé par Alain Juppé en juillet et motion votée au Conseil municipal).
Mettre Bordeaux à moins de 2 heures de Bilbao et à 4 heures de Madrid, c'est en effet proposer des connexions inédites entre ces villes avec de nouveaux développements économiques, touristiques, culturels qui irriguent nos territoires.
Si la confirmation de la réalisation de la branche Bordeaux/Toulouse est aujourd’hui actée, la liaison Bordeaux/Espagne repoussée à 2030 est un coup dur porté au territoire aquitain et à l'agglomération bordelaise. L’ajournement de cet engagement de l'État freine également le report du frêt routier vers le ferroviaire et notamment l'autoroute ferroviaire (entre Vitoria et Calais) alors que 8000 poids lourds franchissent chaque jour la frontière à Biriatou, générant le « mur de camions » de l'A10 et des embouteillages sur la rocade de Bordeaux.
Le colloque a été l’occasion de réaffirmer la position du maire de Bordeaux et des élus du grand Sud-Ouest : Bordeaux/Toulouse ne peut donc être une première étape. Les 2 branches doivent être réalisées de front."
"La Ville de Bordeaux participait ce mercredi 9 octobre 2013 à Paris au colloque intitulé : « LGV du Sud-Ouest Européen, l'union sur toute la ligne ». Alain Juppé était représenté par Michel Duchène, adjoint au maire et vice-président à la Communauté Urbaine de Bordeaux. Ce rendez-vous a permis une nouvelle fois de réaffirmer la mobilisation de la Ville de Bordeaux et de son maire pour que se réalise l'essentielle ouverture ferroviaire à la péninsule ibérique que représente la LGV Bordeaux/Espagne (courrier commun des élus aquitains, co-signé par Alain Juppé en juillet et motion votée au Conseil municipal).
Mettre Bordeaux à moins de 2 heures de Bilbao et à 4 heures de Madrid, c'est en effet proposer des connexions inédites entre ces villes avec de nouveaux développements économiques, touristiques, culturels qui irriguent nos territoires.
Si la confirmation de la réalisation de la branche Bordeaux/Toulouse est aujourd’hui actée, la liaison Bordeaux/Espagne repoussée à 2030 est un coup dur porté au territoire aquitain et à l'agglomération bordelaise. L’ajournement de cet engagement de l'État freine également le report du frêt routier vers le ferroviaire et notamment l'autoroute ferroviaire (entre Vitoria et Calais) alors que 8000 poids lourds franchissent chaque jour la frontière à Biriatou, générant le « mur de camions » de l'A10 et des embouteillages sur la rocade de Bordeaux.
Le colloque a été l’occasion de réaffirmer la position du maire de Bordeaux et des élus du grand Sud-Ouest : Bordeaux/Toulouse ne peut donc être une première étape. Les 2 branches doivent être réalisées de front."
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