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Les Constructeurs et Aménageurs de la Fédération Française du Bâtiment (LCA-FFB ) en Gironde, et leur président Franck Schikowski, donnent rendez-vous au 14e Salon de la Maison Neuve, les 21 et 22 septembre au Parc des Expositions de Bordeaux . Les visiteurs pourront y rencontrer l’ensemble des acteurs du secteur, bénéficier de leur expertise, trouver un financement ou un terrain, découvrir les dernières tendances et les produits les plus innovants.
En 2018, les professionnels de la maison neuve ont été très impactés par le rabotage du PTZ (prêt à taux zéro) dans les zones B2 et C -secteurs péri-urbains et ruraux où la maison individuelle en diffus est plébiscitée -ainsi que par la suppression de l’APL Accession.Si le marché a enregistré l’an passé une baisse des ventes de près de 15%, avec seulement 119 700 ventes réalisées,celui-ci a rebondi au cours du 1er semestre 2019. Selon l’indicateur de conjoncture Markemétron, en mai dernier, les ventes de maisons individuelles ont progressé de+10 % par rapport à la même période de 2018. En évolution trimestrielle, les transactions montent de +3,4 %, ramenant la baisse sur un an à -4,8 %.
Si ces résultats se confirment, entre 120 000 et 125 000 unités pourraient être vendues en 2019, essentiellement grâce à la baisse des taux d’intérêt, aux conditions de crédit améliorées et aux nouvelles offres des constructeurs.
Malgré ces résultats encourageants, nombre d’inquiétudes demeurent. Le secteur va devoir faire face à l’arrêt du PTZ le 31 décembre prochain dans les zones B2 et C, ainsi qu’à la raréfaction croissante du foncier. Face à cette situation, Grégory Monod, président de LCA-FFB, a encore récemment appelé le gouvernement «à rétablir le Prêt à Taux Zéro aux conditions d’avant 2018 et à le prolonger jusqu’à fin 2021», estimant que seule un PTZ fort appliqué sur l’ensemble du territoire permettrait de renforcer la solvabilité des acquéreurs et de relancer durablement le marché.
En 2018, les professionnels de la maison neuve ont été très impactés par le rabotage du PTZ (prêt à taux zéro) dans les zones B2 et C -secteurs péri-urbains et ruraux où la maison individuelle en diffus est plébiscitée -ainsi que par la suppression de l’APL Accession.Si le marché a enregistré l’an passé une baisse des ventes de près de 15%, avec seulement 119 700 ventes réalisées,celui-ci a rebondi au cours du 1er semestre 2019. Selon l’indicateur de conjoncture Markemétron, en mai dernier, les ventes de maisons individuelles ont progressé de+10 % par rapport à la même période de 2018. En évolution trimestrielle, les transactions montent de +3,4 %, ramenant la baisse sur un an à -4,8 %.
Si ces résultats se confirment, entre 120 000 et 125 000 unités pourraient être vendues en 2019, essentiellement grâce à la baisse des taux d’intérêt, aux conditions de crédit améliorées et aux nouvelles offres des constructeurs.
Malgré ces résultats encourageants, nombre d’inquiétudes demeurent. Le secteur va devoir faire face à l’arrêt du PTZ le 31 décembre prochain dans les zones B2 et C, ainsi qu’à la raréfaction croissante du foncier. Face à cette situation, Grégory Monod, président de LCA-FFB, a encore récemment appelé le gouvernement «à rétablir le Prêt à Taux Zéro aux conditions d’avant 2018 et à le prolonger jusqu’à fin 2021», estimant que seule un PTZ fort appliqué sur l’ensemble du territoire permettrait de renforcer la solvabilité des acquéreurs et de relancer durablement le marché.