Le président du CIVB Bernard Farges a estimé devant la presse parisienne que l’économie de la filière des vins de Bordeaux aura été marquée en 2013 par des "ruptures". La première concerne la courbe de croissance en volume et en valeur à l’exportation après des sommets atteints en 2012.
Deuxième rupture, l’inversion des ratios de stocks et d’équilibre de marché. La faible récolte de 2013, estimée à 3,84 millions d’hectolitres (- 27 % par rapport à la récolte 2012) amplifie la diminution des stocks au moment où beaucoup des efforts collectifs ont porté sur cet allègement de stocks.
"Troisième rupture enfin, a poursuivi Bernard Farges: une appréciation de 25 % du prix du vin en vrac entre la propriété et le négoce tant attendue par un grand nombre d’acteurs de notre filière, dans un contexte de volumes disponibles en baisse. Ces changements majeurs nous imposent un travail collectif important pour adapter nos outils de promotion et nos actions vers les viticulteurs et les négociants, mais aussi pour porter nos messages à nos décideurs professionnels et surtout politiques en rappelant le poids de l’entreprise des vins de Bordeaux. Rappelons-le ici, cette entreprise pèse plus de 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires dont 2,14 milliards à l’exportation et 55 000 emplois directs et indirects particulièrement non délocalisables".
Deuxième rupture, l’inversion des ratios de stocks et d’équilibre de marché. La faible récolte de 2013, estimée à 3,84 millions d’hectolitres (- 27 % par rapport à la récolte 2012) amplifie la diminution des stocks au moment où beaucoup des efforts collectifs ont porté sur cet allègement de stocks.
"Troisième rupture enfin, a poursuivi Bernard Farges: une appréciation de 25 % du prix du vin en vrac entre la propriété et le négoce tant attendue par un grand nombre d’acteurs de notre filière, dans un contexte de volumes disponibles en baisse. Ces changements majeurs nous imposent un travail collectif important pour adapter nos outils de promotion et nos actions vers les viticulteurs et les négociants, mais aussi pour porter nos messages à nos décideurs professionnels et surtout politiques en rappelant le poids de l’entreprise des vins de Bordeaux. Rappelons-le ici, cette entreprise pèse plus de 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires dont 2,14 milliards à l’exportation et 55 000 emplois directs et indirects particulièrement non délocalisables".