Capture d'écran direct France3 N-A
C'était, ce jeudi, au tour d'A. Rousset, président de la Nouvelle Aquitaine, de prononcer depuis l'Hôtel de la grande région à Bordeaux, ses voeux à la presse. Cela après l'avoir fait depuis les antennes décentralisées, notamment à Poitiers, où il a rencontré la grogne des personnels qui vivent mal des conséquences de ce que certains qualifient de fusion-absorption. En fait, comme c'était prévisible, on découvre aujourd'hui les effets pervers de cette folie des grandeurs dans la décentralisation.
Ceci en dépit de la bonne volonté du président de la N-A qui s'est encore une fois efforcé de rassurer depuis Bordeaux, mais qui souligne lui-même les handicaps, lorsque parlant de l'aménagement du territoire et des mobilités, il évoque les difficultés de déplacement entre Bordeaux et Limoges. Ou encore lorsqu'il rappelle que la Nouvelle-Aquitaine est l'une des régions qui avait à réorganiser trois administrations, ce qui n'était pas le cas de la majorité d'entre elles.
Côté presse, il a noté les difficultés économiques que celle-ci rencontre parfois, et il a conseillé aux journalistes d'être critiques. "J'ai besoin de votre réflexion " a-t-il affirmé, avant, un peu plus tard, se féliciter du succès des récentes Tribunes de la presse. On eut aussi aimé connaître son point de vue à propos de la loi sur la presse dite des fake news que prépare le gouvernement, laquelle risque d'entraver la liberté de l'information. Alain Juppé avait lui-aussi fait l'impasse....
Concernant le dossier de Notre Dame-des-Landes le président de la Nouvelle-Aquitaine paraît assez embarrassé: "c'est une décision qui interpelle. Il y a eu un référendum. On ne peut pas accepter que 40 personnes bloquent un projet..." Un peu plus de détermination à propos des perspectives de création de péages (ndlr:retour de l'octroi?) à l'entrée des villes dont Bordeaux : "le gouvernement se préoccupe des grandes villes mais pas des régions..."
G.G.
Ceci en dépit de la bonne volonté du président de la N-A qui s'est encore une fois efforcé de rassurer depuis Bordeaux, mais qui souligne lui-même les handicaps, lorsque parlant de l'aménagement du territoire et des mobilités, il évoque les difficultés de déplacement entre Bordeaux et Limoges. Ou encore lorsqu'il rappelle que la Nouvelle-Aquitaine est l'une des régions qui avait à réorganiser trois administrations, ce qui n'était pas le cas de la majorité d'entre elles.
Côté presse, il a noté les difficultés économiques que celle-ci rencontre parfois, et il a conseillé aux journalistes d'être critiques. "J'ai besoin de votre réflexion " a-t-il affirmé, avant, un peu plus tard, se féliciter du succès des récentes Tribunes de la presse. On eut aussi aimé connaître son point de vue à propos de la loi sur la presse dite des fake news que prépare le gouvernement, laquelle risque d'entraver la liberté de l'information. Alain Juppé avait lui-aussi fait l'impasse....
- PS:CHANGER DE LOGICIEL
- "COMBIEN D'APPRENTIS CHEZ M .GATTAZ?"
Concernant le dossier de Notre Dame-des-Landes le président de la Nouvelle-Aquitaine paraît assez embarrassé: "c'est une décision qui interpelle. Il y a eu un référendum. On ne peut pas accepter que 40 personnes bloquent un projet..." Un peu plus de détermination à propos des perspectives de création de péages (ndlr:retour de l'octroi?) à l'entrée des villes dont Bordeaux : "le gouvernement se préoccupe des grandes villes mais pas des régions..."
G.G.