Le maintien de l'installation en agriculture est un enjeu de taille aussi bien en matière économique que préservation de la vie rurale. Néanmoins, les cessations d'activités sont plus nombreuses que les reprises. Conséquence: le grossissement des exploitations restantes -elles s'approprient les terres libérées- ou la friche. En Gironde, la chambre d'agriculture a indiqué les jours derniers "que lorsque un jeune agriculteur s'installe deux à trois quittent le métier". Jusqu'ici la viticulture avait pourtant plutôt contribué à maintenir un nombre d'agriculteurs important, et le département demeure d'ailleurs encore le leader en matière d'emploi agricole.
Aujourd'hui, en Gironde,les candidats à l'installation ont un interlocuteur administratif unique. C'est ce qu'ont souligné les responsables et les conseillers de la chambre d'agriculture girondine sur l'exploitation viticole d'un jeune viticulteur de 30 ans, Arnaud Burliga, Château Lalande de Taleyran, à Beychac-et-Cailleau, dans l'Entre-deux-Mers. Ce jeune a apporté son témoignage. La Chambre d'Agriculture, depuis l'intégration du service départemental du CNASEA (Centre National pour l'Aménagement des Structures des Exploitations Agricoles) propose en effet un service complet au futur agriculteur, allant du diagnostic de l'entreprise à reprendre à un suivi personnalisé post-installation, en passant par l'élaboration du dossier de demandes d'aides financières. Bref, un service complet pour donner au candidat les meilleures chances de réussite.
Les conseillers apportent en effet leur expertise en matière d'acquisition de la capacité professionnelle, de diagnostic de l'entreprise à reprendre, d'évaluation de la viabilité du projet, de recherche des aides,etc. La chambre d'agriculture de la Gironde conseille chaque année une centaine de jeunes agriculteurs et 200 agriculteurs cédants.
Il est à noter cependant que la moitié des jeunes agriculteurs qui s'installent en Aquitaine le font en évitant les contraintes administratives , mais aussi les aides! Phénomène qui a conduit à une enquête visant à en déterminer les raisons.
Aujourd'hui, en Gironde,les candidats à l'installation ont un interlocuteur administratif unique. C'est ce qu'ont souligné les responsables et les conseillers de la chambre d'agriculture girondine sur l'exploitation viticole d'un jeune viticulteur de 30 ans, Arnaud Burliga, Château Lalande de Taleyran, à Beychac-et-Cailleau, dans l'Entre-deux-Mers. Ce jeune a apporté son témoignage. La Chambre d'Agriculture, depuis l'intégration du service départemental du CNASEA (Centre National pour l'Aménagement des Structures des Exploitations Agricoles) propose en effet un service complet au futur agriculteur, allant du diagnostic de l'entreprise à reprendre à un suivi personnalisé post-installation, en passant par l'élaboration du dossier de demandes d'aides financières. Bref, un service complet pour donner au candidat les meilleures chances de réussite.
Les conseillers apportent en effet leur expertise en matière d'acquisition de la capacité professionnelle, de diagnostic de l'entreprise à reprendre, d'évaluation de la viabilité du projet, de recherche des aides,etc. La chambre d'agriculture de la Gironde conseille chaque année une centaine de jeunes agriculteurs et 200 agriculteurs cédants.
Il est à noter cependant que la moitié des jeunes agriculteurs qui s'installent en Aquitaine le font en évitant les contraintes administratives , mais aussi les aides! Phénomène qui a conduit à une enquête visant à en déterminer les raisons.