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LE PALMARES DES OVINPIADES

Le Meilleur Jeune Berger de France 2025 est
Anthony Rispal – Occitanie – Cfaa du Lot (46)
Suivi sur le podium par second
Jules Fosséprez – Hauts-de-France – Lycée de la Thiérache (02)
Troisième place
Antoine Roussies – Occitanie – Lycée de la Vinadie (46)


La Meilleure Jeune Bergère de France 2025 est
Jeanne Touzelet – Ile de France – Bergerie Nationale de Rambouillet (78)

Le meilleur projet collectif est décerné au
Gaëlle Martin, Anna Roinnel et Clothilde Knepper –
Occitanie – Lycée La Cazotte (12)

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NOUVELLES COTE SALON

La Finale du Concours Général Agricole pour les vins de Bordeaux s'est tenue ce samedi 22 février 2025 à Paris, dans le cadre du Salon International de l'Agriculture. Elle a réuni 436 dégustateurs, professionnels et consommateurs avertis.

Sur les 1 808 vins initialement inscrits, 993 avaient été retenus en Gironde lors des présélections et ont pu ainsi participer à cette Finale. Plus de 400 ont été médaillés en or, argent et bronze.

Le Concours Général Agricole pour les vins de Bordeaux est organisé par la Chambre d'Agriculture de la Gironde. Cet évènement, majeur pour la filière, s'inscrit dans son dispositif d'accompagnement des viticulteurs, pour la promotion et la commercialisation de leurs vins.

Consulter les résultats

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Extrait d'un communiqué de la Fédération d'agriculture biologique de Nouvelle-Aquitaine:

"La souveraineté alimentaire ne se résume pas à produire plus, mais à produire autrement
Alors que la Loi d’Orientation Agricole (LOA) a confirmé l’objectif de 21 % de surfaces bio en 2030, garantissant une certaine cohérence des politiques publiques agricoles, le Salon de l’Agriculture 2025 a révélé une fracture inquiétante dans la vision de la souveraineté alimentaire. Annie Genevard, ministre de l’Agriculture, a déclaré : « la France doit produire plus pour manger mieux », rompant ainsi avec les orientations précédentes de transition écologique.

Ce discours reflète un modèle productiviste dépassé, qui pousse à l’intensification, à la concentration des exploitations et à la dépendance aux intrants chimiques et aux accords internationaux comme le Mercosur. Mais produire plus n’a jamais garanti une alimentation de meilleure qualité ni une juste rémunération des agriculteurs. La souveraineté alimentaire ne se mesure pas uniquement en tonnes de production, mais en résilience, en diversité des modèles agricoles et en préservation des ressources naturelles.

Le Salon de l’Agriculture débute dans un climat apaisé sur fond de problèmes non résolus"

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60 organisations appellent à une mobilisation politique forte pour le droit à l'alimentation

Paris, le 25 février 2025 - Au lendemain de l’annonce d’une résolution parlementaire sur la Reconnaissance du droit à l’alimentation et l’adoption d’une loi-cadre portée par 103 députés et en amont du Salon International de l’Agriculture, 60 organisations de la société civile dont Action contre la Faim, le Réseau CIVAM, la Fédération des acteurs de la solidarité, Foodwatch, la Ligue des droits de l’Homme et le Secours Catholique Caritas France, appellent à une mobilisation forte de la part des élus pour garantir que ce droit devienne une réalité pour toutes et tous.

Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, et Jean-Pierre Raynaud, vice-président en charge de l'Agriculture, la Transition agro-écologique, et de l'agro-alimentaire, ont rencontré les représentants des syndicats vétérinaires au Salon international de l'agriculture, à Paris.
Ils ont échangé sur le projet porté par l'institution régionale : un Pôle d’excellence vétérinaire rural à Limoges.

Ces représentants de syndicats ont manifesté leur soutien au projet d'un Pôle d'excellence de médecine vétérinaire rural à Limoges, et à l'ouverture en 2026 d'une 6e année d'approfondissement.


De gauche à droite : Laurent Perrin, président du Syndicat national des vétérinaires d’exercice libéral (SNVEL) ; Jean-Yves Gauchot, président de la Fédération des syndicats vétérinaires de France (FSVF) ; Anne Daumas, directrice du SNVEL ; Jean-Pierre Raynaud et Alain Rousset.
(© Région Nouvelle-Aquitaine)

Fin 2024, Terre de Liens et les Safer ont souhaité dresser un bilan de 20 ans de collaboration sur le terrain. Ce retour d’expérience met en lumière un engagement solide, marqué par une dynamique croissante d’opérations de plus en plus nombreuses et robustes.
Ensemble, ces deux structures placent l'installation agricole au cœur de leur action, la majorité des projets menés en partenariat visant la création de nouvelles activités agricoles.
Cette coopération a déjà porté ses fruits : plus de 338 agriculteurs ont pu s’installer ou maintenir leur activité sur 240 fermes, couvrant près de 7 000 hectares en agriculture biologique ou en conversion. Cela représente les deux tiers des 352 fermes Terre de Liens recensées au 31 décembre 2023.
L’accès à la terre reste un défi majeur aujourd’hui, étroitement lié au financement des projets agricoles. Face à la multiplication des acteurs offrant des solutions variées, notamment de portage foncier, les Safer restent vigilantes quant à la fiabilité et à la pérennité de leurs partenaires. Après deux décennies de collaboration, Terre de Liens s’impose comme un acteur de confiance, partageant les exigences de transparence et de durabilité des Safer.
Ce bilan démontre qu'il est possible de répondre concrètement à la crise du renouvellement des générations agricoles. Toutefois, pour aller plus loin, l’implication des agriculteurs, des collectivités, de l’État et des citoyens est essentielle. Protéger les terres agricoles, c’est assurer notre souveraineté alimentaire et favoriser un aménagement équilibré de nos territoires.
Nous avons besoin d’une mobilisation collective !
(Communiqué)