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Dans le cadre d’un partenariat avec l’école ICART et Mécénart, Christian Jean dit Cazaux, Patrice Geraudie, présenteront une exposition inédite de l’artiste peintre Yahne Le Toumelin, du 9 au 20 janvier 2016, Cour Mably, à Bordeaux. Le vernissage de l’exposition aura lieu le lundi 11 janvier , en présence de l’artiste, L’exposition réunira une soixantaine d’œuvres montrant l’évolution sur soixante-dix ans de la pratique de Yahne Le Toumelin.
Née à Paris en 1923, et mère de Matthieu Ricard (philosophe, auteur de "Plaidoyer pour l’altruisme", moine bouddhiste tibétain et traducteur du Dalai Lama) elle fait partie des rares femmes peintres de son époque qui ont réussit à s’imposer. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées (Frac Bretagne, Musée Art Moderne de Paris). Yahne Le Toumelin appartient au mouvement de l’abstraction lyrique, dans lequel s’inscrivent Soulages, Zao Wou Ki, artistes avec qui la peintre a beaucoup échangé et tissé des liens d’amitié.
Elle fréquenta l’Académie de la Grande Chaumière, première institution à Paris qui ait ouvert la voie à l’Art Indépendant, et elle a su se défaire de toutes les contraintes académiques. Dès 1962, Yahne Le Toumelin exposa dans de nombreux Salons, dont le Salon des Surindépendant et parralèllement elle réalisa des décors de théâtre et des costumes pour la compagnie de Maurice Béjart. Progressivement le travail de l’artiste se fit plus discret, et c’est à ce même moment que Yahne Le Toumelin se retira en tant que nonne bouddhiste au Sikkim n’arrêtant pas pour autant sa création. Afin de présenter des oeuvres rares, L’ICART s’est associé à Mécénart (association de promotion du mécénat) et à la SVV Jean dit Cazaux et associés, dans le cadre d’un projet pédagogique, où ses étudiants assureront la production, communication et médiation de l’exposition. Cette exposition rétrospective, présente une occasion unique pour le public de découvrir ou redécouvrir l’univers poétique de Yahne Le Toumelin ; tout en incluant des œuvres inédites et proposant une nouvelle lecture de l’histoire de l’art moderne.
Née à Paris en 1923, et mère de Matthieu Ricard (philosophe, auteur de "Plaidoyer pour l’altruisme", moine bouddhiste tibétain et traducteur du Dalai Lama) elle fait partie des rares femmes peintres de son époque qui ont réussit à s’imposer. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées (Frac Bretagne, Musée Art Moderne de Paris). Yahne Le Toumelin appartient au mouvement de l’abstraction lyrique, dans lequel s’inscrivent Soulages, Zao Wou Ki, artistes avec qui la peintre a beaucoup échangé et tissé des liens d’amitié.
Elle fréquenta l’Académie de la Grande Chaumière, première institution à Paris qui ait ouvert la voie à l’Art Indépendant, et elle a su se défaire de toutes les contraintes académiques. Dès 1962, Yahne Le Toumelin exposa dans de nombreux Salons, dont le Salon des Surindépendant et parralèllement elle réalisa des décors de théâtre et des costumes pour la compagnie de Maurice Béjart. Progressivement le travail de l’artiste se fit plus discret, et c’est à ce même moment que Yahne Le Toumelin se retira en tant que nonne bouddhiste au Sikkim n’arrêtant pas pour autant sa création. Afin de présenter des oeuvres rares, L’ICART s’est associé à Mécénart (association de promotion du mécénat) et à la SVV Jean dit Cazaux et associés, dans le cadre d’un projet pédagogique, où ses étudiants assureront la production, communication et médiation de l’exposition. Cette exposition rétrospective, présente une occasion unique pour le public de découvrir ou redécouvrir l’univers poétique de Yahne Le Toumelin ; tout en incluant des œuvres inédites et proposant une nouvelle lecture de l’histoire de l’art moderne.